La situation était loin d’être déplaisante… Faust jouait avec le sexe de Willy tout en le mordillant doucement, déclenchant ses gémissements, à moins que ça ne soit les attaques de sa maîtresse dans son dos. Malheureusement les caresses au niveau de son entrejambe cessèrent bien trop vite mais finalement ça n’était que pour passer à d’autres plus plaisantes encore. D’un geste coulé Faust avait défait la tirette du pantalon de Willy, libérant son sexe qui était à l’étroit mais aussi son cul qui, attaché comme l’était Willy, était sans défense.

« Un… deux… trois… »

Pendant que Faust jouait avec lui, Virginie n’était pas en reste et Willy comptait les coups qu’il recevait. Certains remerciaient leur dom à chaque coup mais sa maîtresse ne lui en demandait pas tant. Il la remercierait lorsqu’elle aurait terminé. Les coups, les caresses, les baisers, heureusement qu’il était bien accroché sans quoi Willy aurait probablement chancelé tant il était bien en cet instant entre ces deux merveilleux êtres et la promesse des jeux à venir. Même si ça n’était pas vraiment nécessaire, il se tenait à la corde lui maintenant les poignets au-dessus de la tête, comme un naufragé s’accrochant à sa planche de salut.

« Aaaah, quatre… cinq, huuum, six… »
Il appréciait la situation et ne s’en cachait pas mais difficile de dire ce qui l’excitait le plus entre les caresses et morsures de Faust qui visiblement était en terrain conquis et les coups de martinet de sa maîtresse. A moins que ce ne furent les baisers dont elle couvrait son dos entre deux coups comme un baume apaisant.

Les yeux mi-clos, Willy capta malgré tout un geste de Faust et ouvrit les yeux le temps de le voir humidifier sa main avant de replonger dans son monde et de frémir lorsqu’il l’entendit lui demander à l’oreille s’il était prêt pour le grand saut.
« sept… Oui Zeus, huit, pour vous j’y suis, neuf, prêt ! Dix ! Merci Dame Artémis. »

Même s’il savait déjà à quoi s’attendre, Willy s’accrocha plus fermement encore à sa corde lorsqu’il sentit le doigt de Faust s’insinuer en lui. Hum, allait-il le laisser attaché ainsi pour le prendre ? Ne lui laissant pas de répit, Faust continuait de jouer avec ses tétons et ne semblait pas vouloir épargner un centimètre carré de ses épaules et de son cou avec ses petites dents. C’était tout à fait supportable mais Willy ne doutait pas qu’il aurait quelques bleus dès demain.

« Souhaiteriez-vous une petite mise en bouche avant de vous occuper de moi divin Zeus ? »
Il avait proposé ça tout naturellement, un sourire rêveur aux lèvres, mais cela impliquait néanmoins de le changer de position car sa bouche était un peu loin de l’entrejambe de Faust pour le moment. Il y avait bien d’autres plaisirs possibles, mais il savait qu’il n’y aurait probablement pas droit et ne s’en formalisait pas.

C’était visiblement très bien parti pour finir en partie de jambes en l’air et si je n’y prenais pas garde je risquais de rester sur le bord de la route moi… Oh je m’en remettrais, surtout en recevant ma paye du soir, mais si je peux participer cela me convient mieux. Mais avant que je ne sois sur le bas-côté, il va de toute façon falloir régler de menus détails et moi je m’en amuse déjà. Willy-chou ta bouche est bien trop haute pour notre ami, il va falloir qu’on te décroche de là si tu veux jouer avec son kiki. Faust s’est également fait la réflexion et dit tout haut ce que nous pensons tous trois. C’est un peu compliqué en l’état actuel des choses comme il dit si bien.

« Effectivement, nous allons avoir comme un problème. Donnons-lui un peu de mou. » Et joignant le geste à la parole je m’attaque déjà à la corde qui retient sa cuisse levée, la faisant descendre jusqu’à terre. « En fait je pense que si nous voulons tous trois profiter, il vaudrait mieux le garder au sol. Vous allez profiter de sa bouche puis de son cul, mais je ne dirais pas non à profiter moi aussi de sa jolie bouche. »
Le temps de dire ça j’ai déjà défait la corde qui faisait le tour de sa cuisse et me suis assurée que mon soumis va bien. Il n’est pas resté très longtemps dans cette position et la corde n’était pas trop serrée.

« Je me sens bien maîtresse… » Je n’ai pas eu à le lui demander, mais il me connait et a anticipé ma question. Brave petit. Je lui souris et acquiesce simplement.
« Je vais m’asseoir là et vous laisser jouer puis lorsque sa bouche vous aura donné satisfaction, Ganymède pourra s’occuper de mes petons tandis que vous vous occuperez de son fessier. » dis-je à Faust en m’installant sur le banc.

Peut-être que j’utiliserai sa bouche autrement, on verra. Willy est assez… disons que si je ferme les yeux je peux l’imaginer comme une demoiselle. Il fait partie des quelques minets qui peuvent me toucher.
Par chance pour nous, le sol a été pensé pour pouvoir batifoler dessus : ni gravier, ni terre battue. Comme si l’organisateur s’attendait à ce que ses invités fassent des cochonneries dessus… enfin pas « comme si », il s’y attendait certainement.

Ganymède se trouvait à genoux devant Zeus et moi je m’étais assise pour regarder. Merde, moi qui refusais de juste les regarder faire comme l’un des moutons de Ganymède… bon d’accord ça n’allait pas durer, je leur laissais juste quelques instants pour jouer ensemble, mais je ne tarderai pas à participer à nouveau. Cela dit, tant que Willy prenait son pied ce soir, le reste n’était pas très important, enfin pas autant que la somme qu’il m’avait déjà versée pour la soirée.

Mon petit berger ne se fit pas prier et déjà il ouvrait le pantalon de notre nouvel ami pour y chercher son sexe. Moi j’observais, avec une certaine fascination. Un beau sexe déjà bien tendu qui ne tarda pas à être léché par Willy qui semblait ne pas demander mieux. Oui, il aime ça mon Willy, je le sais bien. Je n’aime pas la bite, c’est vraiment pas mon truc, sauf lorsque c’est moi qui la porte, mais je dois dire que voir deux mecs un peu efféminés jouer ensemble ne me laisse pas de marbre.

Je vis Faust prendre les rênes, ses doigts glissant dans la chevelure de son amant. Il lui imposa un rythme rapide, son rythme certainement, son regard se portant sur moi. Cherchait-il à me narguer ou bien au contraire attendait-il mon approbation ? Il n’avait pas l’air moqueur et moi je lui souris, d’un de mes sourires carnassiers. Vas-y, baise lui la bouche ! Pas besoin de mots pour approuver, je suis certaine qu’il m’avait comprise.

Le teint de Faust se rougit légèrement et à voir sa tête je savais ce qui arrivait. Yurk, il venait de lui jouir dans la bouche. Willy ne s’en plaindrait pas, mais ça m’arrangeait pas trop. Je suis sûre qu’il l’avait fait exprès pour m’embêter ! Je prête mes jouets et c’est comme ça qu’il me remercie ?! Connard ! Mais c’était la soirée de Willy et je suis au-dessus de ça, alors je souris à Willy lorsqu’il se tourna vers moi comme l’y avait invité Faust.
« Foutroyé par Zeus en personne, tu en as de la chance mon Ganymède. »

Va donc prendre soin de ta maîtresse à présent… avec ta bouche pleine de foutre. Il me restait ses mains je suppose. Bon en tout cas je n’allais pas utiliser sa bouche autrement en fin de compte.
« Oui viens à moi mon Ganymède. Masse moi comme tu sais si bien le faire, mais n’utilise que tes mains. »
Il ne se fit pas prier et avança vers moi à genoux, avant de se pencher et de délicatement relever ma robe tandis que je vis Zeus lui reluquer le cul. Ouais il te fait envie hein !
Avec douceur il me retira mes chaussures, récupérant au préalable sa veste qui était posée à côté de lui pour que mes pieds nus à présent n’aient pas à fouler le sol.

Le cul tendu il entreprit alors un massage de mes petons et il sait y faire. Je pourrais le laisser me masser ainsi des heures. De mon pied libre je lui caressais le visage, je sais qu’il aime ça, je sais aussi qu’il aime me lécher les pieds mais là il n’aura droit qu’à ses mains pour me contenter. S’il se débrouillait assez bien, je lui baiserai la bouche, ou le cul selon ce qui sera libre.
« Vous avez de quoi le préparer ? Ou vous avez juste des capotes ? » Demandais-je à Faust, en lui montrant une fiole de lubrifiant que j’avais tiré de mon sac. S’il n’en avait pas, je la lui enverrai.

Une flasque à la main Faust me demanda si je souhaitais rincer la bouche de notre jouet. Mais que voilà une riche idée ! Je doutais qu’il ait encore du foutre en bouche mais nettoyer tout ça ne ferait pas de mal et ça m’aiderait sans doute à accepter que mes petits pieds soient honorés par sa bouche.
Il poursuivit en me présentant un second contenant, me demandant si je pensais que cela suffirait à préparer Ganymède. Mais c’est qu’il avait prévu le coup le p’tit loup !

« Mais bien entendu. Ganymède, va te nettoyer la bouche et remercie Zeus comme il se doit. »
Faisant demi-tour, il me présentait à présent son cul que j’occupais en posant mes pieds dessus pendant qu’il embrassait les chaussures de Faust.
« Je vous remercie monsieur de me laisser me rincer la bouche et de me permettre d’honorer ma maîtresse avec ma bouche comme il se doit. »

Il se redressa ensuite pour quémander la flasque et moi je fis glisser mes pieds un peu plus bas, insinuant l’un de mes pieds entre ses fesses, espérant le titiller des orteils là où il aimait qu’on le pénètre.
Pivotant, il me présenta la flasque, mais je refusais d’un signe de tête, ne souhaitant pas y goûter. Puis s’étant rincé la bouche, il rendit la flasque et se tourna à nouveau vers moi, me jetant un regard interrogateur.
« Oui, tu peux utiliser ta bouche. »

Comme un gosse à qui on venait de dire qu’il allait avoir une seconde part de dessert, il porta mes pieds à sa bouche et entreprit de les couvrir de baisers avant de les lécher, s’appliquant à honorer chacun de mes orteils. Hum oui, continue comme ça, j’aime quand tu me vénères de la sorte pour Willy.
En parlant de gosse heureux, il faisait quelle tête notre nouvel ami ?

« Si tu t’appliques bien Willy-chou, je te baiserai la bouche comme tu aimes pendant que notre nouvel ami te prendra par le cul. Puis peut-être que nous inverserons les rôles. Faust, mon cher, son cul est tout à vous. »
Je me retins de lui dire de ne pas trop me l’abîmer, j’avais pas envie de le vexer, mais je restais attentive à la préparation et aux réactions de mon Willy, voulant qu’il passe un bon moment, même si on allait certainement le malmener encore un peu. Hey, nous aussi on voulait passer un bon moment !

En parlant de gosse heureux, il faisait quelle tête notre nouvel ami ? À l’instant où je lui avais dit que le cul de Willy était tout à lui, ça avait soudain été Noël en avance pour lui. Se jetant sur le cul offert, il l’huila généreusement sous mon regard presque attentif. Presque parce que je m’autorisais à décrocher un peu par moment pour profiter de la bouche de mon Willy. Lorsqu’il laissait tranquille l’un de mes pieds je lui caressais le visage avec, les cheveux, ce qui passait à ma portée et si j’avais de sa bave sur moi c’était encore mieux pour l’étaler sur son visage. Il n’a rien contre une légère humiliation de temps en temps.

La bite en main, Faust déroula un préservatif sur celle-ci puis testa d’un doigt la résistance de l’anus de mon soumis. Pour ça pas d’inquiétude, ça allait rentrer facilement normalement. Entre l’huile et l’expérience de Willy, son cul serait très accueillant. Je me fais plus attentive et j’observe la préparation, je vois que Faust fait ça bien et je me détends, lui faisant même un sourire. Les gémissements de plaisir de Willy chou élargissent encore mon sourire, il passe un bon moment et moi ça me ravit, parce que c’est aussi pour ça qu’il me paye.

Finalement Faust s’introduit dans le cul de Willy, le connaissant ce dernier a dû pousser pour faciliter la pénétration. Bien lubrifié on se glisse en lui aisément. Je le laisse profiter un peu, tout comme je laisse Willy profiter, ne le réprimandant pas parce qu’il me délaisse un peu pour profiter de son propre plaisir. C’est quelque chose que je n’aurais pas toléré chez ma propre soumise, mon plaisir avant le sien, sauf si je suis d’humeur à décider de l’inverse.
Doucement, je le repoussais du bout du pied, ne voulant pas lui faire mal, mais lui signifier que le massage de mes petons était terminé.

Me redressant, toujours sur sa veste, je fouillais dans mon sac et en sorti un gode de taille moyenne que je vins fixer sur le harnais que portais sous ma robe. Oui bah j’avais prévu de besogner un peu mon soumis ce soir, alors j’étais déjà préparée et c’était toujours ça de moins dans mon sac.
Face à Willy, je l’attrapais par les cheveux et lui fis redresser la tête, plaçant son visage à hauteur du gode.
« Suce pendant que Faust te baise. » lui dis-je, mon regard planté dans le sien. Il ne se fit bien entendu par prier et ouvrit la bouche pour prendre le sexe de plastique en bouche. Brave petit.

D’une main je tenais ma robe et de l’autre je donnais le rythme à Willy en le tenant par l’arrière de la tête, m’enfonçant parfois jusqu’à la garde dans sa bouche et m’amusant à l’étouffer quelques instants. Il bavait abondamment, sa salive maculant son menton pour mon plus grand plaisir. Je l’essuierai peut-être après, peut-être pas, on verra.
« Son cul est-il à votre goût mon cher Faust ? L’entrée en est aisée, mais ça ne convient pas à tout le monde. » Trop de kilomètres de bite au compteur me dis-je pour moi-même, amusée. Je ne voulais pas aller trop loin dans l’humiliation, pas tout de suite.

Si on n’était pas sorti j’aurais pris un plus gros gode, mais tant pis il devrait se contenter de ce modèle si je le prenais par derrière à mon tour. J’avais bien une idée pour augmenter le diamètre, mais on verrait si ça tentait Faust…

Faust me dit qu’il était bien dans le cul de mon soumis, et qu’il avait l’impression de ne pas être le premier à visiter, tant l’entrée avait été facile. Comme si je savais combien de kilomètres de bite mon chou s’était déjà pris et comme si j’en avais quoi que ce soit à faire d’ailleurs. Quant à ses suppositions sur la taille de son engin… les hommes sont bien tous les mêmes.
« Oh rassurez-vous, j’ai des godes bien plus gros que votre chibre et avec assez de préparation, ça rentre dans la plupart des culs. »

Chacun de nous jouait son rôle, moi je besognais la bouche de Ganymède, Zeus son cul et Ganymède lui allait et venait à sa guise entre nous. A son regard je voyais qu’il appréciait ce qu’il se passait. Moi je le contemplais, emplie… d’amour ? Peut-être, c’est que j’ai de l’affection pour mon petit Willy. Je ne l’aime pas comme une personne aime sa moitié dans un couple mais j’ai envie de le rendre heureux et de le protéger.
« Il a bon gout mon phallus ? Je sais, ça ne remplacera jamais une vraie bite mon chou. Mais ça peut très vite s’arranger. On change de côté ? » J’avais commencé en parlant à Will mais je terminais en regardant Faust.

L’idée semblait convenir à ce dernier, encore un matin de Noël pour lui sans doute. De la main je caressais le visage de Willy, puis je le laissais changer de côté et me présenter son cul. Non sans qu’il nous ait remercié auparavant :
« Merci Maîtresse Artemis et Maître Zeus de m’utiliser ainsi. » Bon petit Ganymède.

Après avoir lubrifié ma hampe, je m’enfonçais doucement mais sûrement dans le cul de mon soumis pendant que Faust s’occupait de sa bouche. Je m’étais relevée pour me faciliter la tâche et une fois enfoncée jusqu’à la garde, je commençais mes vas et viens, caressant, frappant et griffant tour à tour le dos, les fesses et les flancs de Willy.