A présent que j'ai le tube de lubrifiant, je me suis rapproché de ma petite chose qui me tourne encore le dos, en jouant avec le tube en question. C'est machinal... Dès que j'ai quelque chose dans les mains, il faut que je joue avec presque immédiatement. C'est un réflexe, mais je crois que je le partage avec beaucoup de monde. On doit toujours triturer sans cesse ce que l'on a entre les doigts. Jusqu'à ce que l'on s'en lasse et que l'on passe à autre chose... Mais il y a des choses pour lesquelles je n'arrive pas à me lasser. Notamment celles qui ont trait à la luxure. Et généralement, j'ajouterais même à la luxure sous toutes ses formes. Notamment avec cette jolie petite blonde qui vient désormais d'accepter de venir vivre ici. Ce qui annonce de folles journées et des nuits toutes aussi endiablées sur cette île. Au moins, me voilà à l'abri de l'ennui.

"Tu sais que tu as vraiment un joli petit cul blanc?"

Passant le tube dans ma main gauche, je fais claquer bruyamment le plat de ma main sur l'une de ses fesses. Et là, c'est l'instant où ma petite maniaquerie se réveille. Nan... Ca ne va pas, mais alors, pas du tout. J'envoie une deuxième claque toute aussi sonore sur son autre fesse. A présent, ça va déjà beaucoup mieux. Ce souci de symétrie est une vraie manie. Mais bon, je le vis bien, et je suis à présent certainement bien trop vieux pour changer. En tout cas, maintenant, je suis pleinement satisfait. C'est pourquoi je me redresse pour dévisser le bouchon du tube, et je le dépose derrière moi sur la petite table basse. Je le presse et en sort du lubrifiant que je garde sur le bout des doigts en me penchant pour venir de nouveau déposer les lèvres dans le cou de ma petite chose et l'embrasser doucement avant de murmurer à son oreille.

"Attention, c'est froid."

C'est en disant cela que je passe tranquillement le bout de mes doigts entre ses fesses, et que je les plaque sur son petit trou. Je décris alors quelques petits mouvements circulaires étalant bien le gel lubrifiant sur son orifice, comme en une longue caresse bien localisée entre ses fesses.  Après quoi je me redresse, et je remets une petite dose de gel sur le bout de mes doigts. Je pose nonchalamment la main qui tient le tube sur son épaule droite, et je reviens embrasser son cou offert, après quoi je ne résiste pas au plaisir de lui mordiller doucement la base du cou et l'épaule. Et à cet instant, ma main revient entre ses fesses. Cette fois, je dos véritablement la préparer à recevoir ma queue en érection. C'est pourquoi une fois le gel appliqué sur son orifice, c'est mon majeur qui s'enfonce lentement entre ses fesses, en forçant l'entrée de son petit cul juvénile sans aucune brusquerie. 

"Sois sage, ma petite chose."

A présent, mon doigt se fait un peu plus inquisiteur, et applique le lubrifiant sur ses parois en préparation de ce que je m'apprête à faire. J'agite mon doigt sans le retirer, avant de commencer un lent mouvement de va-et-vient. Et ce faisant, je dépose le tube sur le canapé, et je me sers de ma main pour lui faire tourner un peu la tête au niveau du front. Quand elle est bien tournée alors que mon doigt s'enfonce lentement dans son petit cul, je l'embrasse à pleine bouche, comme si je voulais la bâillonner. Ce n'est pas du tout innocent, car à cet instant, je fais aller-et-venir mon doigt beaucoup plus rapidement entre ses fesses, en faisant clapper le plat de ma main sous son petit postérieur. Je maintiens le contact entre nos deux bouches, alors que je la doigte sans vergogne à présent que le lubrifiant est bien appliqué. Et soudain, je m'arrête et retire mon doigt.

Je me redresse tranquillement, rompant le baiser au passage, et je reprends le tube pour déposer un peu de gel sur le bout de mon membre dressé avant de l'étaler rapidement en quelques mouvements de la main dessus.

"Alors, ma petite chose... Prête? Je veux ton cul à présent."

Il me demande si je sais que j’ai un joli petit cul. Bien sûr que je le sais et alors que je m’apprête à lui répondre, il me claque une fesse. J’avais bien fait de supposer quelques instants plus tôt que la fessée viendrait par la suite. Une seconde claque résonna mais sur mon autre fesse cette fois. Est-ce que je suis surprise ? Non, pas du tout. Je connais mon homme et je sais qu’il aime que les choses soient équilibrées. Peut-être une sorte de TOC, allez savoir, mais qui ça intéresse ?
« Oui, je sais que j’ai un adorable petit cul monsieur. Je suis heureuse qu’il vous plaise tant. »
Il m’avait posé une question, ça n’aurait pas été poli de ne pas répondre, non ?

La tête toujours posée sur le dossier du canapé, j’essaye de voir ce qu’il fait et je distingue la petite bouteille de lubrifiant dans sa main. Je le vois s’approcher pour venir m’embrasser dans le cou puis me prévenir que ça allait être froid.
J’acquiesce en sursautant au contact de ses doigts contre mes fesses. C’est vrai que c’est froid.
« Bien monsieur. » On ne pourra pas m’accuser de ne pas jouer le jeu de la bonne petite soumise qui suit les règles de son maître adoré.

Rapidement le gel se réchauffe entre ses doigts et mon cul et je me laisse aller. Je le sens étaler le lubrifiant et je ferme les yeux, me détendant complètement. Si j’avais été un chat j’aurais sans doute ronronné à ce moment-là et quelques « hum » de contentement sortent de ma bouche. J’ondule de la croupe comme pour accompagner son mouvement.
Cette douce caresse s’interrompt bien trop tôt à mon goût, mais je sens sa main se poser sur mon épaule et il vient à nouveau m’embrasser dans le cou et moi je penche la tête vers l’épaule opposée pour lui offrir mon cou. S’il avait été un vampire j’aurais été une proie tellement facile, et tellement volontaire… Comme s’il avait lu dans mes pensées il vient me mordiller le cou, déclenchant quelques nouveaux murmures de satisfaction de ma part. Mon épaule y passe aussi et je suis presque surprise qu’il ne fasse pas l’autre.

Charles s’intéresse à nouveau à mon postérieur et cette fois il s’enfonce en moi. Juste un doigt pour le moment, qui glisse en douceur, lentement, le lubrifiant jouant son rôle à la perfection. Je suis détendue et réceptive ce qui facilite également la pénétration. Lorsque son doigt a cherché à entrer j’ai poussé légèrement pour m’ouvrir à lui. Qu’est-ce que j’ai hâte de le sentir vraiment en moi et qu’il me fasse l’amour. C’était quand la dernière fois ? Qu’importe, ça m’a trop manqué. J’espère qu’en venant habiter ici ce sera souvent, très souvent !

Je me fige lorsqu’il me dit d’être sage, m’appelant toujours sa petite chose. Je n’ondule plus, je me tiens immobile même si j’ai envie de faire l’amour à son doigt, d’aller et venir le long de celui-ci. Mais je me laisse faire, docile. Ma patience est récompensée, de lui-même il va et vient en moi.
De sa main libre il tourne ma tête pour que je regarde à nouveau sur le côté et sans cesser sa pénétration, il vient m’embrasser, me rendant folle comme à chacun de ses baisers. Mon homme, je suis à lui et il est à moi. Il est tellement sexy, tellement graou… je l’aime.

Il accélère son va et vient et je veux gémir mais son baiser m’en empêche, me bâillonnant et je me sens durcir encore plus à ce moment. Je me sens à sa merci, je ne peux même pas crier, car il m’en empêche et je trouve ça étrangement excitant. Même si ses règles m’ont décontenancée, je crois que je vais aimer les jeux qu’il me prépare.
Puis tout s’arrête, il met fin à notre baiser et retire son doigt. Regardant par-dessus mon épaule, je le vois étaler du gel sur son sexe tendu. Mon dieu, qu’il m’excite, la main sur son chibre.

Sans que je m’en sois rendue compte, mes mains ont quitté le dossier du canapé et je suis en appui dessus lorsqu’il me demande si je suis prête. Il veut me prendre et moi je ne demande pas mieux. Je veux le sentir en moi, je veux sentir ses mains sur moi, je veux me sentir à sa merci, qu’il me baise sauvagement. Ok c’est sans doute un peu cliché mais j’ai très envie de lui.
Reposant ma tête sur le dossier, j’écarte mes fesses deux mains et toujours en regardant par-dessus mon épaule je lui dis d’une voix qui se veut déterminée : « Mon cul est à vous monsieur, faites en ce que bon vous semblera. »

Dans un instant il me pénétrera et le connaissant je sais qu’on ne va pas rester bien sagement ainsi, moi la tête sur le dossier, les mains sur mon cul, lui à faire des vas et viens debout derrière moi. Ça va bouger, et il ne manquera certainement pas de me faire sentir qu’il est tout puissant et que je suis à sa merci comme il l’a déjà fait par jeu par le passé. Est-ce que le fait que j’ai accepté ses règles allait changer quelque chose ? Sans aucun doute.

Je me demande parfois si je ne lui dis pas trop souvent que j'aime son joli petit cul juvénile... Ma petite chose semble en avoir pris conscience et en tirer orgueil à présent. Ou peut-être est-ce moi qui me fais des idées, ce qui n'est pas non plus impossible. Mais tout de même... A présent, je suis en proie à un léger doute. Mais je ne vais pas me formaliser là-dessus. Surtout que je suis à quelques instants d'en profiter. A présent que son joli petit trou est bien lubrifié, et mon membre en érection aussi, je referme le tube avec soin en revissant le bouchon. Qui ne s'est pas retrouvé dans un canapé ou lit maculé de lubrifiant après des galipettes à cause d'un tube mal rebouché  ne comprendra pas ce geste, mais étonnamment, j'en connais déjà très bien la nécessité.

"Alors il est temps de bien le lever à présent. Allez!"

Du plat et du revers de la main, je lui décoche deux petites claques sonores sur les fesses, plus bruyantes que cinglantes. Et cette fois-ci, le geste est bien équilibré à ma façon, n'épargnant aucune de ses deux fesses bien fermes et blanches. Puis, je reste penché, et je referme mes deux mains sur ses hanches, et je la fais relever un peu, en la forçant du même coup à se pencher en avant. Pour m'assurer de l'avoir bien en position, je lâche de la main gauche sa taille, et je la remonte pour la refermer dans sa chevelure blonde. Je la pousse bien en avant presque par dessus le coussin du dossier, et je tire ensuite sa tête en arrière pour bien la faire cambrer.

"Voilà, c'est comme ça que je te veux."

Sans lâcher ses cheveux, je profite qu'elle ait les reins bien creusés pour envoyer deux claques un peu plus tonitruantes sur son fessier bien ferme. C'est juste pour la forme, mais c'est un geste dont je ne me lasse absolument jamais. Mais à présent, trêve de préambule. J'empoigne mon chibre tendu, et je le fais claquer à deux ou trois reprises en un bruit obscène sur ses fesses, avant de le glisser entre ses fesses lubrifiées. Je sens mon gland venir se plaquer contre sa petite rondelle, et là, j'en force l'entrée avec une lenteur perverse, afin qu'elle sente bien chaque centimètre de chair qu'elle est en train de prendre. Je sens ses muscles s'écarter au passage, et je pousse jusqu'à sentir que je la remplis.

"A présent, à nous deux!"

Je me redresse et lâche mon membre tendu bien enfoncé entre ses fesses, et je lui envoie plusieurs coups de reins puissants, pour la clouer dessus. Quand je baisse les yeux, je vois son petit trou du cul bien arrondi autour de mon membre enfoncé en elle. Je souris, ne risquant rien à afficher cette petite satisfaction. A présent, je commence à la sodomiser en faisant claquer bruyamment mon bassin contre son petit postérieur, en n'y allant pas de mains mortes. Maintenant qu'elle a accepté le principe d'être à moi, je vais lui faire goûter à toute l'étendue de sa condition de soumise. Et cela commence ici et maintenant, dans mon salon, alors que je l'encule sans ménagement. Je lui envoie une nouvelle claque sur le cul.

"Dis merci quand je t'encule!"

Il me répond qu’il est donc temps de lever mon popotin et m’encourage à obtempérer d’une paire de claques sur les fesses. Elles claquent bien mais ne sont pas douloureuses. Il me saisit ensuite par les hanches pour me tirer vers le haut, je me redresse donc la tête toujours en appui sur le dossier du canapé mais bien vite l’une de ses mains se perd dans ma chevelure et vient me pousser plus avant encore sur le dossier. Je lâche alors mon cul et enfouie mon visage entre mes bras tout en tendant mon postérieur vers mon homme.

Pourtant il n’en a pas fini avec moi et tire ma tête vers l’arrière, me forçant à me cambrer. J’espère que la vue lui plait. Je n’ai pu retenir un « Aaah ! » de surprise.
Il me dit que c’est ainsi qu’il me veut, puis me tenant toujours par les cheveux, il me remet une paire de claques sur les fesses, me faisant gémir de plaisir. C’est ensuite son sexe qui vient percuter mes fesses avant de se glisser dans mon sillon fessier. D’un instant à l’autre il va s’introduire en moi pour notre plus grand plaisir à tous les deux.

Je sens alors son sexe presser contre mon petit œillet et moi je pousse pour m’ouvrir à lui. Je sens qu’il se fraye un passage dans mon cul. Au départ ce n’est pas agréable, mais je suis assez lubrifiée pour que ça ne soit pas non plus douloureux. Il prend son temps et ça m’arrange bien, ça laisse le temps à mon rectum de s’habituer à sa présence et de se détendre pour l’accueillir.
Même si physiquement je ne ressens pas de plaisir pour le moment, mentalement c’est une toute autre affaire. Mon homme est en moi, d’un instant à l’autre il va me baiser et ça, ça me remplit de bonheur.

A nous deux me dit-il de sa voix qui me subjugue et me fait me sentir toute petite, totalement à sa merci.
« Je suis à vous monsieur. » Ok, je me répète et c’est sans doute très banal mais je ne m’attendais pas à ce qu’il me demande d’être sa soumise, je ferai mieux la prochaine fois, enfin j’espère…
Il commence alors à effectuer quelques vas et viens et il me projette vers l’avant. Si fort, si viril… mon amour. Je m’agrippe au dossier du canapé pour ne pas basculer et j’halète au rythme de ses coups de boutoir.
Son bassin claque contre mon cul bruyamment et je sens ses couilles me fouetter avant de sentir une nouvelle claque qui m’arrache un cri autant de surprise que de douleur. Décidément il n’y va pas à moitié aujourd’hui entre ses assauts puissants et cette dernière claque.

Il me dit alors de le remercier de m’enculer. M’enculer… quel vilain mot pour une vilaine fille comme moi. Mais ai-je envie d’être cette vilaine fille ? Oui, parce que j’ai envie de lui plaire.
« Merci monsieur de m’enculer comme la soumise que je suis. »
Je pivote alors légèrement, juste assez pour pouvoir laisser glisser ma tête du dossier du canapé à l’assise, me retrouvant ainsi un peu en diagonale.
Face down, ass up, me dis-je en mon fort intérieur. C’est pas hyper romantique mais ça a le mérite d’être clair et peu m’importe la façon dont il m’aime. S’il veut m’aimer de façon sauvage, ça me va, ne lui ai-je pas promis d’être sa soumise il y a quelques instants ?

J’espère que cette initiative lui plaira, mais en fait je ne sais pas trop ce qu’il attend de moi en tant que sa soumise. Peut-être que le mieux est de le laisser mener la danse, mais bon, on verra bien si ce changement de position est à son goût ou si je me fais tirer les oreilles. Peut-être même qu’il attend de moi que je désobéisse pour pouvoir me punir ?