J'étais tellement bien entre ses cuisses, je sentais sa petite chatte m'accueillir avec aisance. Ma queue glissait entre ses lèvres avec facilité, bien aidé par toute cette cyprine qu'elle relâchait. J'adorais le fait qu'elle soit autant fontaine quand elle prenait son pied, et je devais avouer que cela était probablement un de mes fantasmes qu'elle réalisait à chaque fois. Je ne lui avais pas avouer mais elle devait s'en douter vu à quel point je prenais un pied monstrueux à la dévorer et la faire venir contre ma bouche. Mais maintenant que j'étais entre ses cuisses, je contrôlais toujours autant les débats. Je ne laissais rien au hasard, le cadre atypique était vachement excitant, le fait que mon major d'homme et mes voisins puissent nous surprendre m'excitais tellement. Je prenais ma belle avec puissance, ma queue s'enfonçant entre ses cuisses avec puissance, mon bassin percutant déjà le sien. Le buste bien droit, j'admirais sa poitrine bondir au rythme de mes coups de reins, la scène était tellement magnifique.

" Ohhhh Giulia ! Haaaan ! T'aimes quand je te baise comme une petite pute à même le sol hein ?! "

Il venait passer une main autour de sa gorge, le buste bien droit et son torse musclé bien contracté. Ses muscles ressortait bien grâce à l'humidité de la piscine mais également à la sueur qui commençait à ruisselait le long de ses abdos. Il n'avait aucun geste tendre envers sa petite protégée, la défonçant comme une vulgaire poupée sans remord. Sa queue allait et venait entre ses cuisses sans relâche, ses couilles bien pleines s'écrasant contre la rondeur de ses fesses, ces mêmes fesses dont il rêvait tant depuis longtemps.

Il était encore et encore sans pitié. Et le pire, c'est que j'adorais ça. Il le savait. C'était tellement bon et je ne trouvais même plus la force de résister. Car oui, à ce moment précis, j'assumais être sa petite catin en manque de sexe. Il faut dire qu'avec lui j'ai toujours faim tellement il est doué et bien foutu.

Bien que je n'arrivais plus à penser clairement, je le regardais et le voir autant investis dans ses coups de rein, la sueur sur son torse... Sans oublier le plaisir sur son visage, il était vraiment beau comme ça.

Habituellement, je n'oserai pas baiser dehors, avec le risque qu'on nous surprenne. Mais il a réussi à tellement bien me chauffer que maintenant je m'en fou. Et il a raison, ainsi c'est tellement plus excitant. J'étais définitivement à sa merci, peu importe si on nous surprend ou non.

- Mmhh ! O-Oui !

Je gémissais toujours autant et j'arrivais à peine à lui répondre. J'adorais le voir me malmener, le voir me dominer toujours plus... Sa main tenait fermement mon cou alors que ma poitrine continuait toujours à bondir autant. Je m'agrippais tant bien que mal à lui, le laissant me baiser toujours de plus en plus fort. Et je sentais le plaisir grandir et que je n'étais pas loin de jouir encore une fois. Il connaissait si bien mon corps à présent et j'en étais terriblement accro.

- Ahhh ! Ne t'arrête pas ! Baise moi comme une pute !

Je pouvais la sentir partir. Après toutes nos rencontre je commençais à bien connaitre son corps et ses particularité. Elle était bien plus humide au fil de mes vas et vient mais ce soir je me sentais d'humeur joueuse. Je voulais obtenir ce qu'elle m'avait promis plus tôt alors je prenais la décision délibéré de la priver d'orgasme jusqu'à ce que j'obtienne ce dont je rêvais. Un comportement un peu d'enfant pourrit gâté, mais je sentais que ce soir j'arriverais à obtenir quelque chose d'elle. Puis c'était un peu mon rôle de jouer avec son plaisir, de la soumettre à la moindre de mes envies. Alors qu'elle me suppliait de continuer de la baiser, je venais lui retirer ma queue et lui rouler une pelle bien chaude avant de la retourner à plat ventre à même le carrelage froid au bord de cette piscine.

J'avais son gros fessier qui était tendu vers ma queue, ce même fessier qu'elle avait décidé de faire squatter un peu plus tôt dans la journée dans cette salle de sport, juste sous mes yeux. Je me mordillais la lèvre inférieur et le prenais bien en main pour le malaxer chaudement, ma queue flirtant avec la fente de sa chatte trempée.

" Mmmmh ... Tu te souviens de ce que tu m'avais promis n'est ce pas ? "

Disais-je avec un sourire pervers en me saisissant de ma queue, la faisant remonter le long de la raie de ses fesses pour arriver à l'entrée de sa petite porte. Je jouais avec ses nerfs, je pouvais sentir que l'atmosphère était plus tendu tout à coup alors que je venais lentement bifler cette petite porte avant de faire lentement glisser ma pine vers sa chatte à nouveau que je fourrais d'un coup de reins sec, tirant sa crinière noire pour la forcer à se cambrer d'avantage et me regarder dans les yeux à l'envers.

" Ohhhhhh j'ai besoin que tu mouilles un peu plus ma queue pour pouvoir passer par là !  Haaaaaaa putain ! "

Je souriais très amusé, alors que j'étais à deux doigts de venir avec sa queue entre mes lèvres intimes, il l'a retira aussitôt. Il était si méchant ! Mais ça va, ça ne me dérangeait pas, après tout c'était bien propre à son rôle de dominant d'être comme ça avec moi, de m'imposer ses règles et ses désirs. On peut dire qu'au fond j'aimais bien, j'acceptais ce petit jeu de dominant-dominé. Ca m'excitait davantage quand il jouait avec mon plaisir, c'est cruel de sa part mais j'adore ça. Je profitais de ces douces lèvres avant de me retrouver cambré, à plat ventre sur le carrelage, je frissonnais à ce contact froid alors que j'étais brûlante de désir.

Mon postérieur était entièrement à sa merci et je m'amusais à lui tendre, souriant de manière coquine. Il venait alors directement me le malaxer sans oublier qu'il caressait déjà ma fente avec sa queue. J'adorais le voir autant excité, j'adorais lui plaire comme ça.

- Comment pourrais-je oublié ? Je suis toute à toi et tu le sais non ?

Ah ça oui, j'étais entièrement à lui seul ce soir et il faut dire qu'il l'avait si bien mérité après toute cette journée, en particulier après cette soirée si parfaite à mes yeux.
J'inspirai un bon coup, je m'étais préparé pour recevoir sa queue à cet endroit qu'il convoitait tant et j'avais chassé quasiment toutes mes appréhensions sur la chose afin de passer un bon moment agréable comme il le prédisait. Alors que je pensais qu'il allait passer directement à l'acte, il revient fourré le fond de ma chatte avec force, je laissais échapper un cri de plaisir, il allait presque m'arracher un orgasme juste comme ça. Je n'étais pas totalement remise de mes émotions de tout-à-l'heure alors me pénétrer de cette manière juste après c'est tout simplement divin comme sensation. Il était doué car c'est ce geste qui me détendit complètement, je mouillais à flot et j'étais enfin prête à l'accueillir par l'autre porte.

- Mmmmhhh !

Bien entre ses cuisses, j'allais et venais avec puissance en elle, les yeux rivés sur ma queue pour remarquer que sa chatte déverser une quantité énorme de cyprine sur mon chibre noir. Je la sentais prête mais je voulais toujours jouer avec son plaisir de manière sadique alors que je continuais de pilonner lentement mais avec puissance le fond de sa petite chatte encore bien sensible. Je pouvais la sentir trembler, ses belles fesses faisant de belles vagues à chacun de mes impacts, comme pour me rappeler que ce soir je pouvais goûter à cette merveille. Et alors que je la sentais se resserrer à nouveau autour de ma queue, je me retirais une nouvelle fois pour bifler le plus petit de ses orifices. Je me mordillais la lèvre inférieur d'excitation, elle pouvait maintenant sentir mes deux mains venir écarter ses deux énormes pêches pour étirer son petit trou, mon gland collé à lui, ne demandant qu'à venir se glisser en elle.

" Si ça te fais mal ... Tu me le dis. "

Disait-il en se penchant sur elle pour lui glisser ses mots à son oreille d'une voix bien chaude. Elle pouvait sentir maintenant mon chibre forcer son passage, bien lentement, lui faisant sentir chacun de mes centimètres qui glissait entre ses fesses. Rapidement je butais, et c'était logique car elle m'avait dit qu'aucun homme avait eut ce privilège avant. D'une part j'en étais flatté, de l'autre j'avais un peu pression car il fallait que je lui prouve qu'on pouvait prendre tout autant de plaisir par cette porte. Alors j'allais et venais avec douceur entre ses fesses, avec une petite partie de ma queue pour travailler son petit trou et tenter de le dilater. Une main agrippant sa crinière, l'autre venait aller à la rencontre de son petit bouton de plaisir pour me mettre à le caresser chaudement et tenter de faire passer cette sensation de douleur. Lui apporter du plaisir était primordial, puis c'était un peu pour ça que je l'avais si souvent rapprocher de l'orgasme pour qu'elle soit bien sensible de sa petite chatte et qu'elle puisse sentir cette vague chaude prendre possession de son corps plutôt que les fourmillements de douleurs.

Ca y est, il l'a enfin rentré dans ce petit trou où j'avais interdit tout passage de base. Dans un premier temps, je grimaçais légèrement en me mordant la lèvre inférieure. J'étais davantage tendue lorsqu'il força le passage et je m'agrippais comme je pouvais au sol froid.

Puis il vient enfin taquiner mon bouton de plaisir comme il sait si bien le faire. J'étais encore toute chaudement sensible alors je me mis aussitôt à gémir et une sensation agréable me traversa entièrement : c'était un mélange de douleur et d'une extrême douceur et finalement le plaisir prenait de plus en plus le dessus sur moi, permettant ainsi de dilater mon deuxième trou.

- Tu peux continuer... Aaah...

Sous ses caresses, je me détendis assez rapidement, me laissant transporter par sa douceur. Je gémissais un peu plus, frottant mon intimité contre sa main pour lui faire comprendre que j'en voulais toujours plus.

- Mmmh...